De nombreuses marques interviennent actuellement dans l’univers de la protection écologique. Certains professionnels de la mode ne veulent jouer que sur des matières non toxiques pour l’environnement. Mais les acteurs de ce domaine arriveront-ils réellement à respecter les commandements COP 21 ? En effet, la mode est un domaine qui est très sujet à la pollution surtout en matière des techniques de fabrication.
Le contre exemple : Stella McCartney, le luxe écolo
Certaines marques, comme Stella McCartney, se consacrent dans le respect de l’environnement. Cette créatrice britannique souhaite oublier complètement l’utilisation du cuir animal, de la vraie fourrure et des produits toxiques. Disant « non » au gaspillage, ce professionnel de la mode organise des défilés à l’Opéra Garnier. Toutes les collections mettent en relief les économies en énergie. Avec cette initiative de faire rimer la mode avec le respect écologique, il est remarqué que la marque connaît une réelle augmentation au niveau de son chiffre d’affaires. Cette réussite remarquable est certainement favorisée par l’esprit écolo de Stella McCartney. Elle est aussi due à ses clients qui sont en quête continuelle d’une mode à la fois luxe et éthique.
La mode face au réchauffement climatique
Des maisons de luxe, comme Prada et Gucci, se sont aussi intéressées à l’idée de lutter contre le réchauffement climatique. Pour ce faire, elles s’engagent à réduire l’utilisation des produits chimiques dans la conception des vêtements et des accessoires de mode. Pour sa part, LVMH a lancé le projet de création d’un fond carbone, dont le financement est assuré par chaque maison et se mesure en fonction de son niveau d’émission de gaz à effet de serre. Ce projet s’applique, en effet, dans l’univers de la mode, dans le but d’assurer le financement des équipements indispensables pour réduire la consommation énergétique.